Pourquoi et comment rouler plus propre ?


Pourquoi et comment rouler plus propre ?

Mise à jour Décembre 2019


Fin Juillet 2018, en raison de la pollution à l’ozone, des mesures de restriction de circulation ont été imposées à Paris. Comme en rebond aux déclarations du 20 juillet de Nicolas Hulot (encore Ministre de la transition écologique) et d’Elisabeth Borne (Ministre des transports), pour la mobilité propre et la protection de l’air, avec le projet de généraliser entre autres les zones à faibles émissions, comme Paris.


Interdire les véhicules les plus polluants

Les Zones à Faibles Emissions fonctionnent avec le système des vignettes Crit’Air. Leur vocation est d’interdire la circulation des véhicules les moins propres. Chaque collectivité restera libre de décider le périmètre de la zone (seulement en centre-ville, par exemple), des catégories Crit’Air de voitures concernées et des horaires de circulation autorisés. 


Développer les Zones à Faibles Emissions (ZFE)

Ces ZFE sont des zones concernées par des émissions fréquentes et trop importantes de dioxyde d’azote, particulièrement toxiques, issues principalement des véhicules diesel. En cas de pic de pollution, elles imposent une circulation restreinte. Aujourd’hui, seuls Paris et Grenoble présentent des ZFE. L’objectif est d’en mettre en place d’ici 2020 dans les agglomérations suivantes : Marseille, Nice Toulon, Lyon, Saint-Etienne, Valence,  Strasbourg, Reims, Montpellier, Toulouse, dans la vallée de l’Arve et en Martinique. 


Changer pour une voiture moins polluante

Face à ces échéances, le gouvernement  s’apprête en 2019 à renforcer le malus pour les voitures qui émettent beaucoup de CO2. « D’ici à cinq ans, une personne sur quatre changera de véhicule, de gré ou de force. Cela va accélérer le renouvellement du parc automobile et le rendre moins polluant. » déclare Godefroy de Colombe, le Président-Directeur Général de Direct Assurance.

Pour ne plus être concerné par les pics de pollution et leurs contraintes…

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